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Sa première rentrée des classes

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Nous y sommes ! Maya est officiellement devenue une élève le 2 septembre dernier. J’avais énormément d’appréhensions ! Il ne s’agit que de la maternelle, mais je sais que cette entrée en matière scolaire, eu égard à l’âge de nos bambins peut les marquer durablement. Alors oui je craignais que cela ne se passe bien. Que la séparation soit douloureuse pour elle (parce que j’ai une petite fille très sensible-et que je le suis moi même) ou que l’équipe ne soit pas à la hauteur de mes attentes et des besoins de mon enfant. Comme tous les parents je suppose…


Pour quelles raisons ?

Notre philosophie d’éducation, l’adhésion sans réserve à ce que l’on appelle la bienveillance éducative-bien que de plus en plus populaire-reste marginale. J’ai découvert les grandes lignes de ce mode d’éducation dit alternatif (parce qu’en marge de ce qui se pratique depuis des siècles un peu partout dans le monde) en parcourant des ouvrages ou des blogs qui traitaient de maternage. Dès ses premiers signes d’autonomie, j’ai souhaité accompagner le développement psychologique et moteur de ma fille avec autant de douceur et d’attention. Lorsqu’elle a eu 13 mois nous l’avons confiée quatre jours par semaine à une assistante maternelle qui s’est avérée formidable ! Cette femme était la bienveillance incarnée et nous avons énormément appris d’elle. Elle a largement contribué à faire de notre fille la petite personne confiante et épanouie qu’elle est aujourd’hui. Du coup je ne vous cache pas que j’avais très peur de la transition avec l’école.

 Je voulais comme tous les parents, le meilleur pour mon enfant. Le meilleur étant pour moi un encadrement qui tienne compte de l’âge des tout-petits, de leur sensibilité, de leurs émotions, tout en stimulant de manière intelligente leurs capacités d’apprentissage. Je n’ai jamais moi même bénéficié de ce type d’enseignement et je ne connais personne (personnellement je veux dire) issu de ce moule. A vrai dire je ne savais même pas que c’était possible d’apprendre dans ces conditions, avant de découvrir les travaux de Céline Alvarez et ce qu’elle appelle « les lois naturelles de l’enfant ». C’est via facebook et un groupe dédié à la bienveillance éducative auquel j’appartiens, que j’ai découvert le blog de cette enseignante qui a décidé de mener une véritable révolution pédagogique au sein de l’éducation nationale. Tout commence en 2011 lorsqu’elle se retrouve en charge d’une classe maternelle à Gennevilliers en banlieue parisienne. Une école classée en zone d’éducation prioritaire et plan violence. Vous devinez sans doute ce que cela implique en termes d’efforts à fournir pour procurer à des enfants qui dans la majeure partie des cas accusent déjà un retard d’apprentissage, un enseignement à la hauteur des exigences nationales. C’est en s’inspirant de la pédagogie Montessori et des derniers résultats des recherches en neurosciences cognitives, que Céline Alvarez a pu réussir un véritable exploit et faire de cette classe un cas d’école sans précédent. Lorsque l’éducation nationale décide en 2013 d’arrêter l’expérience (malgré son succès) et de lui retirer la classe, l’enseignante prend l’initiative d’ouvrir un blog pour que tout le monde (parents, enseignants, institutions etc) puisse profiter des bénéfices de cette aventure en termes d’enseignement et d’apprentissage. J’ai été tellement bluffée par cette approche que j’en ai fait un idéal d’enseignement. Cela a notamment orienté mes choix de jouets, de livres ou la manière de mener des activités avec ma fille. Tout me semblait simple, presque intuitif.

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Il existe aujourd’hui des écoles Montessori et des établissement scolaires privés qui pratiquent ou s’inspirent de cette méthode dès la maternelle. Malheureusement ces établissement affichent des tarifs, qui sont pour beaucoup de parents (nous compris) prohibitifs. Quoi de plus frustrant que de se dire que l’on sait ce qui est bon pour notre enfant, mais on ne peut pas lui offrir. Cela ne signifie pas qu’il n’existe pas des établissements publics de qualité, mais à vrai dire c’est un peu la roulette russe. De plus le jeu (pour peu qu’on le joue) de la sectorisation prive les parents de toute possibilité de sélection. Ce qui est normal pour plusieurs raisons sur lesquelles je ne vais pas m’attarder. Entendons nous bien, il ne s’agissait pas pour moi de performances, mais bien d’environnement favorable. La première année de maternelle a pour but d’apprendre aux enfants à devenir élèves, c’est à dire s’ouvrir à une série d’apprentissages dont on considère qu’ils leur sont utiles, voir indispensables pour évoluer dans la société . Nous ne sommes pas tous égaux face à l’acquisition du savoir, mais l’environnement et la prise en charge peuvent tout changer. Pour cela il faut que les enseignants aient les moyens nécessaires pour créer un climat propice. Des classes qui ne sont pas surchargées, du matériel pédagogique adapté, du personnel, un environnement sain.

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Bref, j’en étais là de mes réflexions, aspirations et craintes lorsque nous reçûmes un courrier de la mairie nous informant de l’affectation de notre fille en maternelle. C’était en mai de cette année. Le mois suivant la directrice de l’école me laissait un message sur mon répondeur m’invitant à convenir d’un rendez-vous pour l’inscription de Maya. Elle insista sur la présence de cette dernière, ce qui n’est ni automatique ni courant. Je me rendis donc au rendez-vous avec la peur au ventre (pour toutes les raisons citées plus haut, augmentées du fait qu’à ce stade il était trop tard pour changer si ça ne se passait pas bien). Maya et moi avons été reçues de la manière la plus douce qui soit.

La directrice m’a d’abord expliqué la situation de l’école et son environnement :  le bâtiment principal que l’on voit de la rue n’étant pas aux normes, l’école a été transférée dans des préfabriqués attenants. Pour des raisons de sécurité elle ne peut donc accueillir qu’un nombre limité d’enfants. Cela donne des classes qui plafonnent à 15 élèves maximum. »Vous verrez, tout le monde se connaît et les parents sont très impliqués. Nous essayons de faire les choses dans la bienveillance « . Inutile de vous dire que mon visage s’est illuminé  ! « Les classes sont organisées de manières à ce qu’elles puissent accueillir des enfants d’âge différent et que les apprentissages et les acquisitions soient mutualisés ». En pratique cela donne des classes petits+moyens, moyens+grands. « On comprend qu’à cet âge les enfants ne sont pas tous tout à fait propres, alors on vous demandera juste de prévoir une tenue de rechange complète qui restera à l’école ». « Il existe deux cours : une réservée aux tout-petits qui peuvent être impressionnés au moment de la récré et ont besoin de rester encore dans leur cocon, avant de rejoindre la plus grande cours qui est accessible à tous ». « Nous avons décidé que la rentrée se ferait en deux temps pour les petites sections pour ne pas les brusquer alors vous pouvez choisir de debuter jeudi ou vendredi. La semaine prochaine nous avons prévu une réunion d’information avec tous les parents afin que tout le monde se rencontre et puisse poser des questions plus spécifiques sur l’organisation de l’école et des rythmes scolaires ». Lorsque je vous parlais plus haut de conditions favorables, c’est exactement à ce type d’aménagements et d’attentions que je pensais. Je suis ressortie de cette visite ragaillardie et Maya impatiente de débuter.

Nous n’avons pas pu assister à cette réunion pour cause de départ en vacances. J’avais un peu peur que notre absence soit vue comme un manque d’implication de notre part, mais nous ne pouvions pas faire autrement. Fin août, nous avons reçu de la directrice une adorable carte représentant un chat. Adressée à Maya, elle lui demandait si elle avait passé de bonnes vacances; l’informait qu’elle serait sa maîtresse et qu’elle avait hâte de la revoir à la rentrée.

Le jour J !

Nous étions attendus à 9h30, pour une présence en classe de nos bambins jusqu’à 11h30. Il était stipulé sur le document que nous avons reçu que les parents pouvaient rester jusqu’à 10h15. Ce document portait également la mention suivante  » Il est normal que votre enfant pleure, ne vous inquiétez pas, nous le consoleront. »

Le barbu ne pouvant pas se libérer de son boulot (en fait nous avions mal lu le doc et pensions jusqu’à la veille qu’on devait être présents à 8h20), c’est moi qui me suis occupée d’accompagner Maya. Après l’avoir préparée dans le plus grand des calmes (Mince ce pantalon j’aime pas trop finalement/hé puis non ce bloomer est plus adapté /Si je lui mets une combi ça peut être compliqué pour aller aux toilettes/les sandalettes font trop été/ »Maman je veux une robe ! »), j’ai fermé la porte de l’appartement avec le cœur qui battait la chamade. Des grosses gouttes de sueur ont commencé à perler sur mon front et mes mains sont devenues moites. Pas le temps de gamberger, cinq minutes plus tard nous étions devant la grille avec une poignée de parents et leur progéniture ! Maya étant de mars, j’ai été très surprise de constater qu’elle était la plus grande. Il y avait des petits qui avaient l’air presque bébé à ses côtés. Certains n’ont pas encore tout à fait trois ans et à leur âge 6 mois ça fait une sacrée différence. J’ai été contente de retrouver les visages familiers de ces parents et de ces enfants que nous côtoyons régulièrement au parc. Je connaissais même les prénoms de certains. Et j’ai échangé quelques mots avec des parents. Mes craintes se sont définitivement envolées.

Une fois dans la classe, la maîtresse/directrice nous invita à nous mettre à l’aise. Les moyens et les petits rentrés la veille s’affairaient d’un côté de la pièce. Maya et ses camarades furent invités à choisir l’activité de leur choix. Pendant que les enfants étaient occupés l’enseignante en profita pour nous expliquer le fonctionnement de la classe : « Le matin en arrivant chaque enfant opte pour l’activité de son choix. Elles sont toutes en libre service. A 10h c’est le rassemblement autour d’une activité en commun pour toute la classe, mais ceux qui souhaitent finir leur activité entamée peuvent le faire. C’est un peu Montessori « . A 10h ce fut la lecture et les 3/4 des enfants se regroupèrent autour de la maîtresse qui tenait un gros livre. Les petits nouveaux du jour eux sont restés près de leurs parents. A 10h15 ce fut le moment de partir. Des au-revoir simples, pas de grandes effusions dramatiques et des « à plus tard » lancés à la cantonade par les enfants. Aucun pleurs de part et d’autre ! Quand je pense que « Pour des raisons de sécurité » dans certaines écoles les parents ont été invités à laisser les enfants à la grille…

A 11h30 j’ai récupéré une véritable tornade sautillante me demandant pourquoi est-ce que ça ne durait pas plus longtemps. « Pour permettre aux parents de s’adapter en douceur ma chérie » lui répondis-je avec un clin d’œil.

Avant de récupérer Maya à l’école j’ai fait un tour à la librairie pour récupérer le bouquin de Céline Alvarez que j’avais commandé la veille. Avec la libraire qui a une fille de 4 ans, on discute de la nécessité du combat de madame Alvarez. Je lui explique alors que ma fille fait sa rentrée ce jour dans telle école. Elle me repond qu’elle connaît bien la directrice, qu’elle est géniale et que cette dernière lui avait confié déplorer le fait qu’au sortir de son école, la majorité des parents optaient pour le privé en élémentaire. J’ai pensé (et la directrice aussi sans doute) à ceux des parents qui n’avaient vraiment pas les moyens de faire autrement qu’avec la carte scolaire et le système tel qu’il est proposé dans la majorité des établissements publics. Je me suis dit que si peut-être chacun de nous s’impliquait un peu plus et militait pour une éducation différente aux côtés de personnes comme Céline Alvarez, peut-être que l’on parviendra un jour à une véritable égalité des chances ?

Je suis toujours un peu rêveuse, mais nos enfants méritent qu’on y croit ne serait-ce qu’un peu.

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16 Commentaires

  • Astou

    C’est vrai que ce n’est que la maternelle mais c’est le début de la vie en collectivité, c’est énorme pour nos petits loulous! Mon fils est du mois d’octobre, et n’étant pas très grand de taille je me souviens que je le trouvais minuscule comparé aux autres enfants! Je trouve l’approche de l’école et de la directrice vraiment géniale, mon fils avait de grosses difficultés avec la propreté à son arrivée à l’école et au bout de deux jours on nous a dit que si cela continuait ainsi on ne pourrait pas le garder… Je souhaite une bonne rentrée à ta petite princesse, tout en douceur, elle à l’air bien parti!

    5 septembre 2016 at 11 11 37 09379 Répondre
    • D.

      Oui absolument le début de la vie en collectivité autonome et pour eux c’est énorme ! C’est vrai que pour la petite section les écarts de taille et même de mois peuvent être assez saisissants. D’ailleurs je viens de découvrir qu’il y a même la toute petite section dans l’école de ma fille, ou du moins des petits considérés comme appartenant à cette catégorie et qui bénéficient par conséquent d’une attention toute spéciale. Ce sont d’ailleurs souvent des petits qui ont encore quelques accidents dans la journée, ce qui est tellement normal ! Je trouve ça vraiment dur ce discours sur la propreté vu leur âge quoi. Merci et j’espère que cette nouvelle année s’amorce aussi bien pour vous !

      6 septembre 2016 at 16 04 29 09299 Répondre
  • Stel

    Bonsoir Danielle,
    Contente de lire ce billet sur la première journée d’école surtout que ça s’est bien passée.
    Pour la rentrée de ma fille jeudi les parents étaient invités à passer la matinée avec les enfants,en 2 groupes sur 2 jours. Nous avons participé ensemble aux divers ateliers proposés: peinture,lecture même à la récréation.Le directeur/maître nous a expliqué l’objectif de l’annee: developper le langage en rappelant bien que chaque enfant est unique et différent et a son rythme.
    J’ai été très rassurée: au Rdv d’inscription avec l’ancienne directrice, je suis sortie de là dépitée;je n’avais jamais vu un tel bazar dans un bureau,fuite dans les toilettes, rien ne donnait envie.J’ai bien saisi que l’Éducation Nationale n’a plus les moyens.
    « Parents investissez-vous dans l’instruction de vos enfants: c’est un travail collectif »
    Bonne année scolaire à tous.

    5 septembre 2016 at 18 06 25 09259 Répondre
    • D.

      Bonjour Stel, je suis ravie que ce billet te plaise ! C’est génial de permettre aux parents de rester un peu plus et surtout scinder les groupes de rentrée en deux, permet aux enfants de ne pas être trop impressionnés. Le directeur est top ! Vive la nouvelle direction dis donc. Je suis de ton avis, c’est un travail collectif !

      6 septembre 2016 at 16 04 31 09319 Répondre
  • Aya

    Très bel article! Première rentrée également pour ma fille. Et cette crainte d’un environnement pédagogique qui ne lui corresponde pas. Tout comme toi, j’ai opté pour un établissement appliquant une pédagogie atypique afin qu’elle s’y épanouisse. Et argument non négligeable, les parents sont fortement impliqués dans la vie de l’école. Après une semaine, elle est heureuse de s’y rendre. Pourvu que ça dure! Continue à écrire, encore et encore…

    8 septembre 2016 at 22 10 30 09309 Répondre
    • D.

      Merci beaucoup pour ton commentaire Aya ! Je me souviens de notre conversation au sujet de nos enfants et je suis contente que la rentrée de ta fille se soit bien déroulée. Je sens que l’on aura souvent des choses à se raconter au sujet de nos filles et de l’école 🙂

      10 septembre 2016 at 12 12 05 09059 Répondre
  • Aya

    Ce sera avec grand plaisir!

    10 septembre 2016 at 14 02 09 09099 Répondre
  • Luna

    Ne serait-ce que pour les photos illustrant parfaitement l’article <3

    20 septembre 2016 at 14 02 22 09229 Répondre
  • Orisa

    C’est impressionnant comment l’entrée en maternelle nous bouleverse je me suis retrouvée dans ton récit du jour J avec pour moi des larmes en plus.
    Vous avez une chance inouïe 15 élèves par classe chez nous cest 28-29 voir 32 l’usine an gaz ! Et malgré cela je trouve les enseignantes mise à part quelques unes super.
    Notre rendez-vous avec la directrice était source d’angoisse pour moi également car je stressais à l’idée qu’on veuille séparer mes jumeaux. Crainte envolée mais contrairement à toi elle a était fermée voir rigide quant à la question de la propreté et justement je trouvais qu’elle manquait de bienveillance
    Es-tu Parent d’élève ?

    17 octobre 2016 at 22 10 17 101710 Répondre
    • D.

      Merci pour ton commentaire Orisa ! Effectivement nous avons eu beaucoup de chance avec cette petite école et Maya s’y plait énormément. Je suis contente que de ton côté vous puissiez tout de même bénéficier d’un encadrement satisfaisant. C’est tellement important ! Je ne comprends même pas comment on peux être rigide sur la propreté des touts petits…Ah la la. Bon j’espère que ça va tout de même pour tes jumeaux.
      Sinon je ne me suis pas impliquée niveau associatif car nous allons déménager fin janvier et Maya va devoir changer d’école. Et puis avec mon accouchement cela me rendait d’autant moins disponible.

      17 octobre 2016 at 22 10 47 104710 Répondre
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  • Arame

    A la lecture de chacun de tes articles où tu nous parle de ta vie de maman je me dis « voilà le genre de maman que je veux être »! je n’avais encore jamais commenté mais j’aime énormément te lire. Tout cet amour et cette bienveillance dans tes propos me donnent des frissons de joie. Merci beaucoup!Tu es si inspirante! A cause (ou grâce à ) toi je suis presque obsédée par la maternité mais je suis encore un peu jeune (22ans) et encore célibataire…
    Trêve de bavardage!je te fais pleins de gros bisous ainsi qu’à Maya et a la petite dernière ❤❤❤

    30 août 2017 at 17 05 33 08338 Répondre
  • Judlor

    Bonsoir. Ma fille va commencer la rentrée en septembre dans une école inspirée du modèle Montessori . J’avoue être un peu sceptique sur ce modèle d’apprentissage particulier, j’ai des doutes sur l’an discipline et l’apprentissage De groupe que nous avons connu dans le système conventionnel. Mais j’ai fait le choix de tester et changer au bout d’un an si je ne suis pas convaincue des progrès de mon enfant.

    28 août 2018 at 22 10 05 08058 Répondre
    • D.

      Coucou ! Pourquoi avoir opté pour ce type d’école si vous avez des doutes ? Si cela peut vous rassurer, la discipline reste de mise et l’apprentissage se fait toujours en groupe. Je vous recommande le livre de Céline Alvarez « Les lois naturelles de l’enfant », elle y décrit parfaitement comment la pédagogie Montessori peut-être appliquée aujourd’hui dans nos écoles. Je vous souhaite une bonne rentrée à toutes les deux !

      29 août 2018 at 22 10 09 08098 Répondre

    Répondre à Stel Annuler la réponse.

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